Culture Pop / Pop Culture
La culture pop ou culture populaire (littéralement la culture du peuple) consiste dans la pioche d’éléments culturels depuis tous les pans de la société. Certains éléments se perpétuent à travers un langage vernaculaire de la société. Ceci comprend des interactions, besoins, désirs et moments culturels qui parent la quotidienneté de nos existences du doux halo qu’on nommera ‘courant perdominant’ (mainstream). On peut y inclure un certain nombre de pratiques – se vêtir, consommer, cuisiner etc. La culture populaire contraste toujours avec une haute culture plus élitiste.
La culture pop trouve son expression dans la circulation (consommation) massive d’objets provenant de la mode, de la musique, des technologies de communication (TV, cinéma, radio…), etc.
La culture populaire a attiré beaucoup de critique. Certains critiquent une acception trop large, d’autres affirment que la notion de pop culture est tout bonnement une construction arbitraire utilisée dans la perpétuation d’un élitisme. En fait il semble bien que nous devions séparer culture pop de culture populaire. Nous en venons alors finalement à la distinction entre Pop et Populaire.
Une des critiques les plus prégnantes charge la culture populaire d’une compréhension du monde limitée et d’une expérience de vie plombée par des sentiments vulgaires et des attitudes face à au monde par trop banals. La superficialité et le caprice seraient deux grands sentiments partagés par les tenants de cette façon. Le sensationnalisme et le narcissisme.
La publicité a acquis la réputation de nous pousser vers la consommation de masse. Mais il faut bien admettre que tout vient des consommateurs (je reviens au sensationalisme et au narcissisme) de musique, de mode, bref de pop culture des années 60-70, en ceci qu’ils définirent un mode original de pré-vente des produits manufacturés : la publicité, tellement bien théorisée par Goebbels (les slogans tels Arbeit Macht Frei qu’on pouvait lire ironiquement lorsqu’on passait sous le porche d’un camp de concentration). La consommation de masse prend tout son sens dans une idéologie de culture populaire, puisque dès lors qu’on a en commun des goûts (voire des besoins), une économie de production peut se développer et répandre des objets tous identiques à un nombre illimité d’exemplaires. Le problème n’est pas de savoir si cette culture populaire existe réellement ou même si elle a un sens, le problème est surtout de savoir à quel point nos comportements de consommation sont déterminés. Le situationnisme peut éclore, il est déjà mort. Le peuple n’est pas prêt pour la critique. Il a trop besoin de consommer. La consommation c’est la vie. La consommation de culture populaire, c’est la vie sociale.
Nous reviendrons sur la notion de culture pop, et la difficulté de définir un concept qui ne se laisse pas appréhender ; seulement imaginer.
La culture pop trouve son expression dans la circulation (consommation) massive d’objets provenant de la mode, de la musique, des technologies de communication (TV, cinéma, radio…), etc.
La culture populaire a attiré beaucoup de critique. Certains critiquent une acception trop large, d’autres affirment que la notion de pop culture est tout bonnement une construction arbitraire utilisée dans la perpétuation d’un élitisme. En fait il semble bien que nous devions séparer culture pop de culture populaire. Nous en venons alors finalement à la distinction entre Pop et Populaire.
Une des critiques les plus prégnantes charge la culture populaire d’une compréhension du monde limitée et d’une expérience de vie plombée par des sentiments vulgaires et des attitudes face à au monde par trop banals. La superficialité et le caprice seraient deux grands sentiments partagés par les tenants de cette façon. Le sensationnalisme et le narcissisme.
La publicité a acquis la réputation de nous pousser vers la consommation de masse. Mais il faut bien admettre que tout vient des consommateurs (je reviens au sensationalisme et au narcissisme) de musique, de mode, bref de pop culture des années 60-70, en ceci qu’ils définirent un mode original de pré-vente des produits manufacturés : la publicité, tellement bien théorisée par Goebbels (les slogans tels Arbeit Macht Frei qu’on pouvait lire ironiquement lorsqu’on passait sous le porche d’un camp de concentration). La consommation de masse prend tout son sens dans une idéologie de culture populaire, puisque dès lors qu’on a en commun des goûts (voire des besoins), une économie de production peut se développer et répandre des objets tous identiques à un nombre illimité d’exemplaires. Le problème n’est pas de savoir si cette culture populaire existe réellement ou même si elle a un sens, le problème est surtout de savoir à quel point nos comportements de consommation sont déterminés. Le situationnisme peut éclore, il est déjà mort. Le peuple n’est pas prêt pour la critique. Il a trop besoin de consommer. La consommation c’est la vie. La consommation de culture populaire, c’est la vie sociale.
Nous reviendrons sur la notion de culture pop, et la difficulté de définir un concept qui ne se laisse pas appréhender ; seulement imaginer.
Bien à vous tous.
1 commentaire:
oh lala, quand je lis tout ça, la POP me fait mal à la tête!
La vache, j'comprends rien!
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